L’auteur d’« Aucassin et Nicolette » prend un soin particulier à s’inspirer de différents genres pour les parodier ou les renouveler à sa façon. Il fait souvent référence à des pièces lyriques connues et strictement définies comme l’aube, la reverdie, la chanson d’ami, la pastourelle ou la chanson de toile. Selon sa fantaisie, ses intentions ou les impératifs de son récit, il se plaît à transformer avec malice ses modèles…