Ceux qui ont oublié que le cinéma est un jeu (jeu de piste, jeu de rôle, jeu de scène, etc.) n’aimeront pas « Aimer, boire et chanter ». Les autres seront emportés par le vertige, par le « tourbillon de la vie » impulsé par un prestidigitateur conscient de son art et soucieux de rester « un homme joyeux dans un monde dépourvu de joie », comme le dit l’ultime réplique.