Ce nouveau « dictionnaire amoureux » que signe Dominique Fernandez, son troisième, est moins volumineux que celui consacré à l’Italie (en deux tomes), mais il est toujours d’un format respectable (820 pages), et pourrait être considéré comme le gigantesque appendice des promenades dans la péninsule transalpine. Car parler de Stendhal revient à poursuivre un voyage en Italie que notre prolifique académicien n’a momentanément interrompu que pour célébrer la Russie, une autre de ses passions…