L’ouvrage est, comme toujours, copieux (près de 400 pages grand format), comme toujours un peu disparate, d’un contenu pas forcément inédit (bien que la plupart des reprises soient les bienvenues), mais, tel quel, il s’avère d’une lecture passionnante et devrait vite prendre une place importante dans la bibliographie relative à Camus qui augmente chaque année, nous précise-t-on, d’une vingtaine de livres et d’environ soixante-quinze articles…