Un « Aladin bibliophile », Max de Carvalho, a éveillé des génies littéraires dans une anthologie de poésie du Brésil bilingue où crépitent et se répondent, du XVIe au XXe siècle, à travers les âges et les lieux, le chant du sabiá, le battement d’un cœur épris de saudade, des fleurs caressées par Zéphyr, un être-Musique sacrée, Ye’ pá, dessinée par le vent, ou encore une voix invitant à vivre de brise…