Si les auteurs des bandes dessinées précédentes consacrées au Louvre avaient inventé des intrigues et créé des musées imaginaires, David Prudhomme, lui, se met en scène en train de traverser le musée et de regarder les œuvres et surtout les visiteurs qui découvrent celles-ci : cette mise en abyme est métaphoriquement une lecture d’une bande dessinée géante où les tableaux constituent autant de cases…