Évoquer son voyage fait encore partie du voyage. De cette évocation naissent l’aventure, le rêve ou la déception, l’exagération qui revisite les événements ou les faits sans fioriture. C’est aussi fixer la mémoire, clore et mettre un point final. Trois carnets de voyage sont particulièrement évoqués dans cet article : « Liban. Carnets d’Orient », de Jacques Ferrandez (Casterman, 2001) ; « Un Américain en balade », de Craig Thompson (Casterman, 2005) et « Les Petits Tapis », dans « L’Association en Inde », de Frederik Peeters (L’Association, 2006).