Alexandre Aja : « Une sauvagerie radicale renvoie à la société l’image de sa propre violence »

Remake d’un film de Wes Craven, La Colline a des yeux confronte une famille américaine égarée dans le désert avec une famille de mutants cannibales, fruits d’essais nucléaires. Le film questionne la responsabilité de la société envers les monstres qu’elle crée. Entretien et pistes pédagogiques.
Propos recueillis par Milly La Delfa, professeure de lettres et cinéma (académie de Paris)
L’École des lettres. — La transformation humaine traverse votre filmographie. Quelles sont les sources de cette fascination et quel est votre premier souvenir de film de mutants ?
Alexandre Aja. — Mon premier mutant, c’est Danny, l’enfant du film de Stanley Kubrick, Shining, adapté du roman The Shining, de Stephen King. […]

Pour lire l’article, abonnez-vous
Fichier(s) lié(s) :
Page(s) :14
L'École des Lettres - Revue pédagogique, littéraire et culturelle
Résumé de la politique de confidentialité

Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.